Parce que l’arrivée d’un animal chez soi n’a rien d’anodin, petit retour sur mon expérience après ces premiers mois en compagnie de notre petit trésor.
Voilà maintenant un petit peu plus de deux mois que notre bébé Shetland est arrivé chez nous. C’était plus précisément le 13 janvier que nous avons eu l’immense joie de le ramener à la maison.
Deux mois passé avec lui. Deux mois c’est pas grand chose quand on y pense et pourtant cela semble déjà être une éternité. On ne peut plus imaginer notre vie sans lui. Impossible également de se rappeler comment c’était avant lui.
Cela peut surprendre, et d’ailleurs moi aussi si on m’avait dit que j’allais être autant accro à cette petite boule de poils, je ne l’aurai pas cru.
Et oui je suis tout simplement amoureuse de mon Nazca, je ne pense qu’à son bien-être.
Autant le dire de suite, je suis folle de mon chien. C’est bien simple, je suis fascinée par tout ce qu’il fait. Je peux être en adoration devant lui lorsqu’il mange, dort, joue… Je vais trouver toutes ses actions trop mignonnes et je m’extasie sans cesse sur la moindre de ses actions.
J’en suis la première surprise. Bien entendu, j’étais certaine que j’allais l’aimer, mais c’est plus fort que tout ce que j’aurais pu imaginer.
Je passe mon temps à lui parler, une vraie maman poule. Bon d’accord, ce n’est pas un enfant mais cela ne m’empêche pas de l’appeler “mon bébé” à longueur de temps.
Un chien, qu’est ce que ça change ?
Et bien beaucoup de choses !
Tout d’abord que l’on ait envie ou non, on est bien obligé de sortir, peut importe la météo ou notre degré de fatigue.
On est également responsable d’une autre vie que la sienne. On peut devenir vite inquiet, même pour des broutilles. Il mange un peu moins, il dort plus et nous voilà à nous demander s’il n’est pas malade. Bien sur on connait l’inquiétude pour les personnes que l’on aime, pour nos proches mais cela revêt un caractère différent car ce petit être dépend entièrement de nous.
On doit beaucoup plus parler à des inconnus. Difficile de faire un pas dans la rue sans être arrêté par une personne qui nous demande la race de Nazca. Sans compter sur le fait que nous avons un petit chien très très très poli, il tient à dire bonjour à toutes les personnes qu’ils croisent et je ne parle même pas des chiens qu’il faut bien entendu aller saluer.
Il est vite devenu la mascotte du quartier et on doit quotidiennement (souvent même plusieurs fois par jours), s’arrêter pour qu’il ait droit à ses caresses.
Cela conduit donc forcément à faire la conversation aux gens, à se montrer sociable. C’est une bonne thérapie pour lutter contre la timidité.
Il faut également apprendre à faire preuve d’autorité. Car oui un chien ça s’éduque. Il faut bien entendu lui apprendre les ordres de base mais aussi à bien se comporter avec les autres.
On souhaite en effet pouvoir amener Nazca partout, qu’il puisse se montrer calme dans n’importe quel endroit.
C’est compliqué de le réprimander lorsqu’il fait une bêtise, surtout quand il pose son doux regard sur nous. Et puis il est malin, il sait très bien comment nous amadouer. Il faut parfois s’empêcher de rire tant ses réactions peuvent être drôles et adorables.
Il ne faut pas oublier qu’un chien c’est de nombreuses dépenses. Le vétérinaire, les produits contre les puces, tiques et autres nuisibles, la nourriture, les divers accessoires.
C’est se priver pour qu’il ne manque de rien. En tout cas nous c’est comme cela que l’on voit les choses. On a choisi de l’avoir auprès de nous c’est donc tout naturel de lui offrir la meilleur des vies.
En plus de tout ce qui nécessaire à sa santé, on ne lésine pas sur son confort.
On a pris pleins de jouets, il les adore tous ! Il s’amuse avec chacun d’eux. Comme nous n’avons pas un budget extensible et illimité, on mise sur des produits à petits prix que l’on trouve principalement chez Babou. Pareil pour les plaids et coussins, comme celui que l’on voit sur les photos de cet article qui n’a couté que 10€.